LA FIDUCIE DU PATRIMOINE CULTUREL DES AUGUSTINES
La Fiducie du patrimoine culturel des Augustines
75, rue des Remparts Québec (Québec) G1R 3R9
75, rue des Remparts Québec
(Québec) G1R 3R9
T 418.780.4800 |
C 418.261.2614
F 418.692.2668
(Québec) G1R 3R9
T 418.780.4800 |
C 418.261.2614
F 418.692.2668
Il y a 374 ans aujourd’hui :
LES AUGUSTINES ARRIVENT AU PAYS ET FONDENT À QUÉBEC LE PREMIER HÔPITAL EN AMÉRIQUE, AU NORD DU MEXIQUE
Québec, le 1er août 2013 – La Fiducie du patrimoine culturel des Augustines veut souligner le caractère historique de cette journée spéciale qui commémore l’arrivée à Québec des trois jeunes Augustines venues de Dieppe, en France, pour y fonder le premier hôpital en Amérique au Nord du Mexique : l’Hôtel-Dieu de Québec.
Leur histoire
Le 1er août 1639, Marie Guenet de Saint-Ignace, Marie Forestier de Saint-Bonaventure et Anne Le Cointre de Saint-Bernard arrivent de France et débarquent à Québec après une traversée de trois mois. À la demande de la duchesse d’Aiguillon, elles y établissent un hôpital pour soigner les autochtones et les rares colons. L’Hôtel-Dieu de Québec devient alors le premier hôpital en Amérique, au nord du Mexique.
Les Augustines ont jeté les bases du système de santé actuel au Québec par la fondation de 12 monastères-hôpitaux (Hôtel-Dieu de Québec (1639), Hôpital Général de Québec (1693), Hôtel-Dieu du Sacré-Coeur de Québec (1873), Hôtel-Dieu de Chicoutimi (1884), Hôtel-Dieu de Lévis (1892), Hôtel-Dieu de Roberval (1918), Hôtel-Dieu de Gaspé (1926), Hôtel-Dieu de Saint-Georges-de-Beauce (1949), Hôtel-Dieu de Montmagny (1951), Hôtel-Dieu d’Alma (1954), Hôtel-Dieu de Dolbeau (1955), Hôtel-Dieu de Jonquière (1955)). Elles ont contribué activement au système de santé québécois, principalement en tant que propriétaires et gestionnaires d’hôpitaux, infirmières et pharmaciennes. Elles ont ainsi largement participé à l’essor économique des régions où elles ont oeuvré avec dévouement.
Des réalités d’aujourd’hui
Tous les hôpitaux fondés par les Augustines ont été intégrés au réseau public de santé québécois et sont encore en fonction. Quant à leurs monastères, attenants à l’hôpital, six sont toujours actifs (monastère de l’Hôtel-Dieu de Québec (1639), de l’Hôpital Général de Québec (1693), de l’Hôtel-Dieu du Sacré-Coeur de Québec (1873), de l’Hôtel-Dieu de Chicoutimi (1884), de l’Hôtel-Dieu de Roberval (1918), de l’Hôtel-Dieu de Dolbeau (1955)). Les six autres monastères ont été reconvertis à d’autres usages.
L’Ordre des Augustines du Québec ne compte maintenant que 135 religieuses, alors qu’il en a déjà regroupé près de 800. Face à la diminution progressive et au vieillissement des membres de leurs communautés, les Augustines ont décidé de
confier la sauvegarde de leur patrimoine culturel à la société québécoise en créant une fiducie d’utilité sociale.
« Le sens que revêt pour nous le 1er août de cette année est encore plus évocateur dans le contexte actuel, parce que nous procédons actuellement à d’importants travaux pour restaurer le monastère de l’Hôtel-Dieu de Québec. À la suite de cette restauration majeure, le projet Le Monastère des Augustines y prendra place en 2015 et témoignera de l’apport réellement exceptionnel des Augustines à notre société, autant des points de vue social et spirituel que culturel », précise Me Bernard Cliche, président du conseil d’administration de la Fiducie.
La Fiducie du patrimoine culturel des Augustines a pour mission d\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\'assurer, pour toute la population et pour les générations à venir, la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine et de la mémoire des Augustines du Québec.
Le Monastère des Augustines est un projet unique issu de la volonté des Augustines de faire don à la société québécoise de leur précieux patrimoine, accumulé depuis 1639. Plus de 40 000 artéfacts et 1 km linéaire d’archives et de livres anciens seront regroupés au monastère de l’Hôtel-Dieu de Québec et deviendront accessibles au grand public dès 2015. Une programmation visionnaire, axée sur la culture et le concept de santé globale, viendra répondre aux besoins de la société contemporaine en termes de ressourcement. L’Hôtellerie, le Musée et les Archives, conçus et développés de façon intégrée, contribueront aussi à renforcer l’expérience particulière du lieu.
Québec, le 1er août 2013 – La Fiducie du patrimoine culturel des Augustines veut souligner le caractère historique de cette journée spéciale qui commémore l’arrivée à Québec des trois jeunes Augustines venues de Dieppe, en France, pour y fonder le premier hôpital en Amérique au Nord du Mexique : l’Hôtel-Dieu de Québec.
Leur histoire
Le 1er août 1639, Marie Guenet de Saint-Ignace, Marie Forestier de Saint-Bonaventure et Anne Le Cointre de Saint-Bernard arrivent de France et débarquent à Québec après une traversée de trois mois. À la demande de la duchesse d’Aiguillon, elles y établissent un hôpital pour soigner les autochtones et les rares colons. L’Hôtel-Dieu de Québec devient alors le premier hôpital en Amérique, au nord du Mexique.
Les Augustines ont jeté les bases du système de santé actuel au Québec par la fondation de 12 monastères-hôpitaux (Hôtel-Dieu de Québec (1639), Hôpital Général de Québec (1693), Hôtel-Dieu du Sacré-Coeur de Québec (1873), Hôtel-Dieu de Chicoutimi (1884), Hôtel-Dieu de Lévis (1892), Hôtel-Dieu de Roberval (1918), Hôtel-Dieu de Gaspé (1926), Hôtel-Dieu de Saint-Georges-de-Beauce (1949), Hôtel-Dieu de Montmagny (1951), Hôtel-Dieu d’Alma (1954), Hôtel-Dieu de Dolbeau (1955), Hôtel-Dieu de Jonquière (1955)). Elles ont contribué activement au système de santé québécois, principalement en tant que propriétaires et gestionnaires d’hôpitaux, infirmières et pharmaciennes. Elles ont ainsi largement participé à l’essor économique des régions où elles ont oeuvré avec dévouement.
Des réalités d’aujourd’hui
Tous les hôpitaux fondés par les Augustines ont été intégrés au réseau public de santé québécois et sont encore en fonction. Quant à leurs monastères, attenants à l’hôpital, six sont toujours actifs (monastère de l’Hôtel-Dieu de Québec (1639), de l’Hôpital Général de Québec (1693), de l’Hôtel-Dieu du Sacré-Coeur de Québec (1873), de l’Hôtel-Dieu de Chicoutimi (1884), de l’Hôtel-Dieu de Roberval (1918), de l’Hôtel-Dieu de Dolbeau (1955)). Les six autres monastères ont été reconvertis à d’autres usages.
L’Ordre des Augustines du Québec ne compte maintenant que 135 religieuses, alors qu’il en a déjà regroupé près de 800. Face à la diminution progressive et au vieillissement des membres de leurs communautés, les Augustines ont décidé de
confier la sauvegarde de leur patrimoine culturel à la société québécoise en créant une fiducie d’utilité sociale.
« Le sens que revêt pour nous le 1er août de cette année est encore plus évocateur dans le contexte actuel, parce que nous procédons actuellement à d’importants travaux pour restaurer le monastère de l’Hôtel-Dieu de Québec. À la suite de cette restauration majeure, le projet Le Monastère des Augustines y prendra place en 2015 et témoignera de l’apport réellement exceptionnel des Augustines à notre société, autant des points de vue social et spirituel que culturel », précise Me Bernard Cliche, président du conseil d’administration de la Fiducie.
La Fiducie du patrimoine culturel des Augustines a pour mission d\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\'assurer, pour toute la population et pour les générations à venir, la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine et de la mémoire des Augustines du Québec.
Le Monastère des Augustines est un projet unique issu de la volonté des Augustines de faire don à la société québécoise de leur précieux patrimoine, accumulé depuis 1639. Plus de 40 000 artéfacts et 1 km linéaire d’archives et de livres anciens seront regroupés au monastère de l’Hôtel-Dieu de Québec et deviendront accessibles au grand public dès 2015. Une programmation visionnaire, axée sur la culture et le concept de santé globale, viendra répondre aux besoins de la société contemporaine en termes de ressourcement. L’Hôtellerie, le Musée et les Archives, conçus et développés de façon intégrée, contribueront aussi à renforcer l’expérience particulière du lieu.
