L'économie canadienne a donné un coup de frein en mai, avec une croissance décevante de seulement 0,1 % qui semble mettre la table pour un deuxième trimestre et une année inférieurs aux attentes.
La fabrication s'est toutefois repliée de 0,5 % en mai. La production de biens durables a diminué de 0,6 %, surtout en raison des baisses observées dans la fabrication de machines, dans la fabrication de produits informatiques et électroniques et dans la première transformation des métaux. La construction a reculé de 0,2 % en mai, une nouvelle indication du refroidissement du marché immobilier résidentiel. Les économistes réduisent leurs attentes envers l'économie depuis le début de l'année, surtout en raison de la détérioration de la crise européenne et de la croissance anémique aux États-Unis, et préviennent maintenant que d'autres déceptions sont à prévoir.
"C'est peut-être la meilleure performance que nous puissions attendre quand nos principaux partenaires commerciaux sont faiblards, comme aux États-Unis, ou invisibles, comme en Europe", a expliqué l'économiste en chef de Marchés mondiaux CIBC, Avery Shenfeld. La faiblesse mondiale explique en partie le recul du secteur manufacturier, qui dépend des exportations, mais l'économie intérieure émet elle aussi des signaux inquiétants. "On dirait que le secteur immobilier perd de l'altitude", a dit l'économiste Doug Porter, de la Banque de Montréal (TSX:BMO), en soulignant le déclin de la construction résidentielle et le recul de 4,8 % de l'activité des agents et courtiers immobiliers.
Derek Holt, de la Banque Scotia (TSX:BNS), a prévenu que sur la base des données actuelles, la croissance de la période avril-juin pourrait n'être que de 1,4 %, soit une performance inférieure à celle de 1,8 % maintenant prédite par la Banque du Canada. Cela en ferait le troisième trimestre consécutif de croissance inférieure à 2 %, depuis le dernier trimestre de 2011. Certains économistes croient maintenant que le gouverneur de la Banque du Canada, Mark Carney, annoncera une nouvelle réduction des taux d'intérêt pour renflouer l'économie du pays, plutôt que de risquer de l'affaiblir en les augmentant. On ne devrait pas non plus attendre la création de nouveaux emplois. "Une croissance de 1,5 % à 2 % n'est pas si terrible que ça, mais c'est un rythme qui ne fera rien pour abaisser le taux de chômage", a dit M. Shenfeld.
Sept des 18 secteurs d'activité économique sont demeurés inchangés ou ont reculé. Le secteur de la finance et des assurances a progressé de 0,5 %, grâce à l'augmentation du volume de transactions sur les marchés boursiers et de prêts personnels. L'extraction minière, pétrolière et gazière a augmenté de 0,6 % en mai, après une hausse de 2 % en avril.
Source : LaMetropole.com / PC
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